Une vente, trois caves, une sélection
Constitué petit à petit au fil des générations, les vignes du domaine s’étendent aujourd’hui sur près de 15 hectares et comptent 10 appellations parmi lesquelles sont présentées en vente (lots 11 à 113 et 116) des "Clos des Porets" en 2001, 2002, 2003 ainsi que "Les Vaucrains" en 1994.
Henri Gouges est à l’origine de la loi sur les Appellations Controlées et fût représentant de la viticulture bourguignonne au comité directeur de l’INAO. Soucieux de continuer le travail déjà accompli, Grégory et Antoine Gouges, aujourd’hui aux commandes du domaine ont depuis 15 ans décidé de travailler selon les principes de l’agriculture biologique sur l’ensemble du domaine en privilégiant la biodiversité et en favorisant l’enracinement de la vigne.
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Bonneau du Martray et ses Corton Charlemagne.
Un vin royal ? celui-ci a été servi en 2006 au dîner privé donné par la reine Elizabeth II pour ses quatre-vingts ans.
Il a également obtenu la note maximale de 5 étoiles au « Guide des vins Bettane + Desseauve 2017 », tout de même !
Une histoire de famille de presque deux siècles.
Le prestigieux domaine a en effet appartenu pendant près de deux siècles aux héritiers de René Bonneau du Martray, lui-même descendant du fondateur. L'arrivée de Jean le Bault de la Morinière au domaine, en 1969, fort de sa volonté d'être le témoin le plus fidèle du terroir de Corton, marquera le début d'une large reconnaissance internationale pour les vins signés Bonneau du Martray.
En janvier 2017, le domaine est vendu à Stanley Kroenke, déjà propriétaire du domaine californien Screaming Eagle (lot 102).
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Château de Beaucastel, vignoble emblématique du Châteauneuf-du-Pape.
Le Château Beaucastel brille par ses particularités identitaires. Le domaine se situe sur un terroir de galets roulés permettant de restituer la nuit la chaleur emmagasinée le jour par rayonnement. Il est par ailleurs l’un des seuls à faire appel aux treize cépages autorisés pour élaborer son rouge !
Le domaine passe aux mains de Pierre Tramier en 1909 qu’il transmettra à son gendre Pierre Perrin. Après cinq générations c’est Jean-Pierre et François Perrin qui continuent de faire briller l’appellation et le domaine à l’international. Très soucieux de respecter la biodiversité de ce terroir d’exception, la biodynamie est devenu le mot d’ordre (lots 89, 99 et 100).
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